Après avoir alerté à plusieurs Nike
TN reprises l'école privée dans laquelle leur fils était scolarisé, des parents se sont fait notifier le renvoi de leur enfant. Selon eux, aucune discussion n'a été possible avec la direction de l'école, qui reproche de son côté aux parents une absence de dialogue.
Difficile de comprendre la décision, en l'absence d'explications précises de la part de l'école. Fin janvier, les parents d'un élève de CE1 scolarisé à l'école catholique des Herbiers, en Vendée, reçoivent le témoignage de leur fils qui se dit une fois de plus victime de brimades à l'école. Ils demandent un rendez-vous avec le directeur pour lui faire part de la situation. Mais l'entretien, d'à peine quelques minutes, se termine sur l'annonce, par le chef d'établissement, de l'exclusion de l'écolier.
«On m'a dit que la confiance était tn pas cher irrémédiablement rompue et que mon fils était radié», affirme le père au quotidien Ouest-France .Sa demande de précision, à trois reprises, concernant le motif de renvoi, est restée sans réponse. «Le directeur n'a cessé de me répéter que l'entretien était terminé. Un vrai tribunal sans plaidoirie.» D'après son récit, le directeur n'avait pas donné suite aux précédentes demandes de rencontre. Un envoi en recommandé a été nécessaire pour pouvoir lui parler.
Le jeune garçon, âgé de 7 ans, a été inscrit à l'école catholique Notre-Dame-du-Petit-Bourg à la fin de l'année scolaire 2013-2014. Depuis son arrivée en classe, les parents assurent n'avoir reçu aucune information concernant des problèmes de comportement liés à leur enfant. De leur côté, ils affirment avoir alerté à plusieurs reprises l'équipe pédagogique sur les violences dont leur enfant était victime. «Il s'agit de coups et de bousculades», Nike
TN précise Me Catherine Chailleux, sollicitée.
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