Qui a tué le journaliste Gilles Jacquier. était-il la cible du tir de mortier qui l'a tué il y a trois ans? A cette question, personne ne peut aujourd'hui répondre avec certitude. Trois ans après, l'immeuble au pied duquel a été tué Gilles Jacquier a été rénové mais les volets roulants des commerces voisins révèlent toujours des impacts d'éclats. "Un obus est tombé et ma fille suivait Gilles. Elle est partie se cacher, c'est à ce moment là qu'il a été fauché Cheap Jordan Shoes par l'explosion sur le pas de la porte", explique une habitante de l'immeuble, présente lors du drame. Le petit cratère formé par l'obus a été depuis cimenté. Des indices introuvables Les restes de mortier tombés ce jour là et qui pourraient servir de pièce à conviction sont introuvables. Un document fourni par le régime affirment que ce sont les rebelles qui ont tué Gilles Jacquier mais sans preuves pouvant étayer les faits. Comment dans ces conditions faire la lumière sur la mort du journaliste? "En trois ans, l'enquête se résume en une vingtaine de pages et treize jours d'investigation, c'est maigre. Ce n'est clairement pas la priorité du régime de Bachar El Assad qui est toujours en guerre", explique le journaliste Franck Genezeau avant de poursuivre Nike TN : "Malgré tous les documents que nous avons ramené mettent en lumière des noms, des Tn Requin identités, des numéros de téléphone qui seront peut-être utile aux enquêteurs ici à Paris. Et puis il y a des images, ces photos que nous avons ramené et sur lesquels des experts en balistique pourront plancher et qui détermineront peut-être la trajectoire du tir qui a tué Gilles Jacquier "
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