mardi 10 février 2015

Procès du Carlton de Lille : DSK considère qu'il n'a commis «ni crime ni délit»

L'ancien directeur du Fonds monétaire international, Nike TN Requin Pas Cher qui répond de «proxénétisme aggravé» dans l'affaire dite du Carlton, s'est exprimé ce matin devant le tribunal correctionnel de Lille.
Dominique Strauss-Kahn ne sait pas si, comme le suggère le président Bernard Lemaire, il était «l'un des hommes les plus importants de ce monde» lorsqu'il dirigeait le FMI. En revanche, il est convaincu de deux choses: que cette organisation a «sauvé la planète d'une crise aussi grave que celle de 1929» et, d'une manière plus prosaïque mais qui intéresse davantage le tribunal correctionnel de Lille, qu'il n'est pas un proxénète.
Renvoyé en compagnie de treize autres personnes dans l'affaire dite du Carlton, DSK, qui répond de «proxénétisme aggravé» et encourt à ce titre 10 ans de prison, avait refusé de se prêter à l'expertise psychiatrique pour laquelle le juge d'instruction avait mandaté deux sommités - les Nike Tn docteurs Michel Dubec et Daniel Zagury. Le président lit in extenso la lettre qu'il avait remise aux deux praticiens lors de leur (brève) rencontre: «Considérant que je n'ai commis aucun crime ou délit...», écrivait l'ancien ministre comme s'il rédigeait lui-même un arrêt judiciaire. Par ce feuillet, il estimait qu'un examen ne serait d'aucune utilité à la justice, et entendait aussi se prémunir de fuites dans la presse qu'il pensait inéluctables.
M. Strauss-Kahn, «consultant international», répond à une question sur son association hasardeuse avec un homme, aujourd'hui décédé, dans le cadre de la société financière LSK: «J'y ai perdu du temps, de l'argent, et sans doute de la réputation», tranche-t-il d'une belle voix grave, Nike TN Requin légèrement voilée. Le président, comme d'ailleurs avec les autres prévenus, du moins au stade de l'interrogatoire de personnalité, fait preuve de délicatesse. Aussi, pour évoquer l'affaire.

Justice : le peintre et l'électricien...

C'est un procès hors norme qui se TN Pas Cher tient aujourd'hui devant le tribunal correctionnel de Grasse. Un ancien électricien qui avait effectué des travaux chez Picasso dans sa villa de Mougins et qui a conservé dans son garage pendant 37 ans 271 oeuvres du maître, comparaît pour recel, ainsi que son épouse.
                 
A la suite d'une plainte des héritiers du peintre, Pierre et Danielle Le Guennec, modestes retraités septuagénaires, doivent expliquer comment ils sont entrés en possession d'une telle quantité d'oeuvres. Ils ont été inculpés en mai 2011 pour "recel de biens provenant d'un vol".
                 
Le trésor hétéroclite comprend notamment six petites huiles sur toile et 28 lithographies (dont 14 fois la même), des collages cubistes, des carnets de dessin.
L'avocat du couple, Me Charles-Etienne Gudin, distingue seulement une dizaine d'oeuvres de valeur, le reste étant "très médiocre". D'ailleurs "Picasso n'a jamais cherché à les vendre !" dit-il.

"Il m'invitait souvent"      

L'ancien électricien affirme que les oeuvres lui ont été données par Picasso et son épouse Jacqueline, lorsqu'il effectuait des travaux dans son mas de Mougins, près de Grasse dans les Alpes-Maritimes, dernière demeure de l'artiste, décédé en 1973.
                 
"Il m'invitait souvent à prendre un gâteau, un café, on parlait de tout et de rien avec le maître (...) Un soir que je quittais mon travail, Madame m'a tendu un petit paquet en disant +c'est pour vous+". "Quand je suis revenu à la maison, j'ai vu des esquisses, des dessins au crayon, je n'y connaissais rien... Si Madame m'avait donné une peinture, là oui ça m'aurait fait drôle !", a-t-il expliqué.
                 
Face à eux, Claude Picasso, fils du peintre et administrateur de la Picasso Administration qui authentifie ses oeuvres et gère les droits, ainsi que six autres héritiers de Picasso et ses quatre muses, parties civiles.
Les avocats des héritiers n'ont pas besoin de désigner un voleur mais devront démontrer par un faisceau d'indices que le couple "connaissait l'origine frauduleuse des oeuvres", explique une magistrate.

"Si on vous donne 271 Picasso, vous vous en souvenez !"

"Ils ne se souviennent de rien, Nike TN s'ils ont reçu ce don en 1970, 1971, 1972 (...) Si on vous donne 271 Picasso, vous vous en souvenez !", s'exclame Jean-Jacques Neuer, avocat de Claude Picasso.
Les oeuvres s'échelonnent entre 1900 et 1932. "Il faudrait imaginer que Picasso les a gardées pendant 70 ans et a une volonté tout à coup de les donner", note-t-il.
Elles ne sont pas signées. Or, "Picasso signait au dernier moment, pour les donner ou les vendre", rappelle cet administrateur de la succession de l'artiste.
                 
L'ancien électricien dispose seulement d'une brochure d'exposition dédicacée en 1971. "Cela montre leur niveau de proximité !", assène Me Neuer.
                 
"Quand vous faites un cadeau, vous allez choisir une chose précise qui correspond à la personne. Picasso offre ici des oeuvres qui n'ont rien à voir les unes avec les autres. Notamment des collages cubistes extrêmement précieux, 10% de sa production ! Mais aussi deux carnets de dessins, des instruments de travail dont il ne se serait pas dessaisi", détaille-t-il.
                 
"Le problème n'est pas de savoir si Picasso était généreux ou pas", argue l'avocat. "Picasso n'était pas quelqu'un d'inconscient de ses oeuvres, il ne donnait pas n'importe comment".
                 
Pour Me Gudin, "ce n'était pas facile de voler Tn Nike dans les ateliers de Picasso qui avait une mémoire extraordinaire". Et de décrire sa dernière demeure comme "une forteresse" surveillée par deux gardiens.

Verdun : un bébé gravement brûlé par de l'acide dans sa poussette

Un enfant de deux ans a été brûlé au Nike TN troisième degré au niveau des fesses, jeudi à Verdun, par un liquide acide présent dans sa poussette. La police a ouvert une enquête et privilégie la thèse d'un acte malveillant.
Ambre, une fillette âgée de 2 ans, a été gravement brûlée aux fesses, jeudi, à Verdun (Meuse). Sa poussette a été aspergée d'un produit corrosif dans le hall de l'immeuble où elle se trouvait durant la journée.
Le drame est survenu alors qu'Ambre avait passé l'après-midi chez ses grands-parents. La poussette est restée pendant plusieurs heures en bas de la cage d'escalier. «En venant la chercher le soir, TN Requin son père a mis sa fille dans la poussette. Elle a commencé à pleurer et crier de manière inhabituelle. En revenant à son domicile, il s'est rendu compte qu'elle avait été brûlée aux fesses au troisième degré, et qu'un liquide s'était répandu dans le landau», déclare un porte-parole du commissariat de police de Verdun, précisant que les jours de la victime ne sont pas en danger.
«La thèse de l'accident est impossible»
Dans la foulée, la fillette a été transportée vers l'hôpital de Verdun, puis vers le centre hospitalier de Brabois près de Nancy, où elle devrait recevoir une greffe de peau dans les prochains jours, rapporte l' Est Républicain .Ludivine, la maman, qui est actuellement à ses côtés, reste très choquée. «Je ne dors plus, je n'arrive pas à manger et je n'arrête pas de pleurer. On ne fait pas ça à une petite fille», confie-t-elle au journal régional. «Jamais on aurait pensé à ça. On va dire à tout le monde de ne plus laisser les poussettes dans le bloc. TN Pas Cher Et puis, il faut aussi voir si la petite n'est pas traumatisée par la poussette maintenant».

Éducation : la réforme territoriale va bouleverser les zones de vacances

La ministre de l'Éducation nationale, TN Pas Cher interrogée mardi sur France Inter, prévoit de revoir d'ici le printemps les actuelles zones A, B et C afin d'harmoniser la carte actuelle avec celle née de la réforme territoriale.
La réforme sera présentée «au printemps», promet Najat Vallaud-Belkacem. La ministre de l'Éducation nationale a annoncé mardi matin sur France Inter sa volonté de modifier le calendrier scolaire des prochaines années. «Je mène une réflexion qui est plus large que celle de la date de rentrée scolaire, parce qu'on va avoir à gérer les conséquences de la réforme territoriale par exemple qui vont modifier les zones de vacances scolaires», a affirmé la ministre. La rue de Grenelle avait annoncé cette révision du calendrier la semaine dernière. Najat Vallaud-Belkacem doit encore s'entretenir avec différents partenaires: syndicats, parents d'élèves, collectivités locales, Sac a main acteurs du tourisme… Voici quelques-unes des pistes envisagées:
• Une refonte des historiques zones A, B et C
Depuis le milieu des années 1960, la trentaine d'académies que compte la France sont réparties entre deux, puis trois zones pour les vacances d'hiver et de printemps. Il s'agit alors d'éviter les embouteillages sur les routes et l'engorgement des destinations touristiques. Mais la récente réforme territoriale est venue perturber cet héritage. Les deux cartes ne correspondent plus. «Le fait qu'on ait une réforme territoriale qui divise par deux le nombre de régions, ça va mettre dans la même région des territoires qui auparavant relevaient de zones de vacances différentes, par exemple l'Aquitaine, Nike Requin le Poitou-Charentes, à un moment donné il va falloir coordonner tout cela», a détaillé la ministre sur France Inter.

DSK face aux juges : "Moi je n'aime pas les prostituées. Moi j'aime la fête"

Dominique Strauss-Kahn est entré dans le vif du sujet. Air Max 90 A la barre pour la première fois pour livrer sa version des faits, l'ancien patron du FMI a d'abord tenu à casser l'image d'un homme qui passait son temps dans les parties fines. Comme le tweete un journaliste de M6, présent dans la salle d'audience, DSK a d'abord minimisé le temps passé avec les autres prévenus :

Autre précision centrale dans le dossier : DSK a de nouveau nié avoir été au courant qu'il était en présence de prostituées lorsqu'il se rendait à des parties fines organisées par les autres prévenus :


"Je ne m'estime en rien organisateur de ces soirées. Je n'avais pas le temps d'organiser une quelconque soirée", a poursuivi l'ex-politicien vedette français avant d'expliquer : "Ce n'est pas ma conception des relations sexuelles que de le faire avec des prostituées", aussi bien par goût, souhaitant que ce soit "la fête", que par crainte des "pressions" auxquelles pourraient être soumises des professionnelles.
Mais le témoignage des prostituées tn pas cher pourrait mettre à mal cette ligne de défense. L'une d'elle évoque un rapport sexuel désagréable avec l'ancien patron du FMI :

3 "femens" en comité d’accueil pour DSK
Un peu plus tôt, Dominique Strauss-Kahn a été accueilli à son arrivée au tribunal par trois "femens", dont l'une a réussi à grimper sur le capot de son véhicule. Les trois activistes ont réussi à enlever leur haut en un clin d'œil pour se retrouver torses nus avec l'inscription "macs-clients déclarés coupables". Les trois jeunes femmes ont été interpellées.

Première audition à la barre pour DSK
Dominique Strauss Kahn est appelé à la barre mardi 10 février pour s'expliquer face aux juges qui le soupçonnent de proxénétisme aggravé. Depuis le début de l'affaire, l'ancien homme fort du PS clame son innocence, reconnaissant sa participation à de nombreuses parties fines aux côtés des autres prévenus mais niant savoir que les femmes présentes étaient toutes payées.
Deux jours et demi pour convaincre
DSK, qui doit être confronté aux prostituées parties civiles, ne devrait pas pouvoir échapper à des questions d'ordre très privées sur ses goûts sexuels. Il a deux jours et demi pour convaincre de sa bonne foi à la barre, lui qui dénonce depuis le début un procès à la fois "politique, idéologique" et moral.

Un procès sulfureux
Du sexe, du pouvoir et de l'argent. Tous les ingrédients sont réunis pour faire du procès du Carlton, qui s’ouvrait lundi 2 février devant le tribunal correctionnel de Lille, l'un des plus attendus de l'année. Ex-homme politique de premier plan, Dominique Strauss-Kahn se retrouve sur le banc des prévenus pour répondre de proxénétisme aggravé, presque quatre ans après le scandale du Sofitel qui lui a coûté sa carrière politique.
13 autres prévenus
Accusé d'avoir été au cœur d'un réseau de prostitution mis en place par ses amis du Nord, l'ancien favori des sondages de la présidentielle 2012 comparait aux côtés de treize autres personnes : hôtelier, commissaire de police, avocat, entrepreneurs, et "Dodo la Saumure", gérant de plusieurs "maisons de débauche" en Belgique.
A l'issue du procès, qui doit durer trois semaines, le jugement devrait être mis en délibéré. L'ancienne figure du PS encourt jusqu'à 10 ans de prison et 1,5 million d'euros d'amende.
Retour sur l’affaire
Tout commence en février 2011 lorsqu’une enquête préliminaire est ouverte par la police judiciaire de Lille, sur des renseignements anonymes. Les enquêteurs se penchent alors sur les fréquentations de l'hôtel Carlton et de l'hôtel des Tours.
L'hôtel Carlton de Lille
L'hôtel Carlton de Lille
Quelques mois plus tard, en octobre 2011, le propriétaire du Carlton, Hervé Franchois, le directeur-manager de l'hôtel, Francis Henrion, et son directeur des relations publiques, René Kojfer, sont mis en examen et écroués pour "proxénétisme aggravé en bande organisée".
Le nom de DSK apparaît
La surveillance mise en place, notamment sur le téléphone portable de René Kojfer, fait sortir peu à peu des noms, dont celui de Dominique Strauss-Kahn, lâché fortuitement au détour d'une conversation.
Les enquêteurs remontent un réseau de notables qu'ils soupçonnent de profiter des filles mises à disposition par le chargé des relations publiques, dont David Roquet, entrepreneur en BTP et Fabrice Paszkowski, un entrepreneur spécialisé dans le matériel médical. Ces deux derniers font partie d'un cercle amical, libertin, parfois franc-maçon, auquel viennent s'ajouter Jean-Christophe Lagarde, alors directeur de la sûreté départementale du Nord, et Dominique Strauss-Kahn.
Selon l'accusation, les quatre hommes se retrouvent à l'occasion de plusieurs soirées, dans le nord mais aussi à Paris ou encore à Washington, où trois voyages sont organisés alors que DSK est encore à la tête du FMI.
Un premier non-lieu pour DSK
En mars 2012, après deux jours de garde à vue, DSK est mis en examen pour "complicité de proxénétisme aggravé en bande organisée" et "recel d'abus de biens sociaux". Il affirmera toujours ignorer que les femmes présentes aux parties fines étaient des prostituées rémunérées.
Retournement de situation en juin 2013 : le parquet de Lille requiert un non-lieu à l’encontre de l’homme politique, estimant qu'il ne pouvait être déduit "avec certitude" qu'il savait que les femmes rencontrées étaient rémunérées ni qu'il était à l'origine des soirées.
<span style=font-size: 10.0pt; line-height: 115%; font-family: 'Arial','sans-serif'; mso-fareast-font-family: Calibri; color: black; mso-ansi-language: FR; mso-fareast-language: FR; mso-bidi-language: AR-SA;>L'ancienne figure du PS, </span>Dominique Strauss-Kahn
Le renvoi en correctionnel
Mais un mois plus tard, Nike TN les magistrats en décident autrement. Ainsi, le 26 juillet 2013, les juges d'instruction renvoient Dominique Strauss-Kahn en correctionnelle pour "proxénétisme aggravé en réunion". Treize autres prévenus sont également renvoyés en correctionnel pour ce même chef.
Car selon l’accusation, s'il ressort de l'enquête qu'une certaine "omerta" était imposée aux jeunes femmes, qui ne devaient jamais évoquer en présence de l’ancien patron du FMI leur qualité de professionnelles, l'homme politique "ne pouvait pas ignorer" qu'elles étaient des prostituées.
DSK, "roi de la fête"
Pour les juges, loin d'être un simple client "consommant gratuitement", DSK était par ailleurs l'instigateur et le "principal bénéficiaire" de ces soirées, selon une source proche de l’enquête. Devant les enquêteurs, une escort dira même de lui qu'il était le "roi de la fête".
Les magistrats ont notamment retenu contre l’homme politique la mise à disposition d'un appartement à Paris et des échanges de SMS avec d'autres protagonistes du dossier montrant, selon l'accusation, qu'il a favorisé la mise en place d'un "système" visant à "satisfaire ses besoins sexuels."
DSK, adepte du libertinage, pas de prostituées
La défense de Dominique Strauss-Kahn est restée la même pendant toute la durée de l'instruction : il est adepte du libertinage, pas de prostituées, et il ignorait la qualité des jeunes femmes participant aux soirées.
"C'est vraiment nous faire croire qu'il est naïf", répond sèchement "Jade", l'une des prostituées interrogées pendant l'enquête. "Jade" est l'une des deux seules prostituées à s'être portée partie civile dans un premier temps, mais deux autres souhaiteraient les rejoindre, selon l'association qui les soutient.

Rythmes scolaires: 74% des enseignants jugent leur impact «négatif»

Trois professeurs des écoles sur quatre, Tn Pas Cher sondés par le principal syndicat des enseignants de maternelle et de primaire (SNUipp-FSU), s'alarment des effets négatifs de la réforme sur les élèves et sur eux-mêmes. Ils estiment que sa «remise à plat» est un chantier prioritaire.
La réforme des rythmes scolaires, un caillou dans la chaussure de Najat Vallaud-Belkacem. Le syndicat majoritaire des enseignants de maternelle et de primaire (SNUipp-FSU) revient à la charge ce mardi en publiant un sondage riche en enseignements: 74% des professeurs interrogés tirent la sonnette d'alarme. Ils dénoncent les nombreux «dysfonctionnements» liés au temps périscolaire et qui se traduisent par un «impact négatif» sur l'attention et la fatigue des élèves.
Sébastien Sihr, secrétaire national de l'organisation syndicale, appelle de ses voeux à «une remise à plat» de la législation pour inverser son taux d'échec. «Comment se satisfaire TN Requin d'une réforme dont le succès ne dépasse pas les 26%?», s'indigne-t-il auprès du Figaro.
Fatigue, baisse d'attention et dégradation des conditions de travail
Sur la base de 16.764 répondants, issus de tous les départements, les difficultés se concentrent principalement sur l'offre du périscolaire, «très inégale d'une ville à l'autre». Depuis la rentrée, les enfants sont contraints d'évoluer dans des «locaux non adaptés», «bruyants», et assimilables pour beaucoup à des «garderies». C'est en maternelle que les critiques sont «les plus vives»: sieste insuffisante, enfants désorientés par «les différents temps morcellant la journée». Les conséquences sont multiples: accroissement «de la fatigue et baisse d'attention de certains élèves sur le temps de classe».
S'agissant des instituteurs, Nike TN ils notent à 68% une «dégradation» de leurs conditions de travail et revendiquent à 81% une.

Un bébé ours polaire naît au Marineland d'Antibes

Carnet rose au Marineland d’Antibes. Air Max Flocke et Raspoutine, les deux ours polaires hébergés par le parc marin, ont donné naissance à un bébé.
"Né dans la nuit du 26 novembre 2014, l’ourson et sa maman vivent dans leur tanière. Comme dans leur environnement naturel, la maman veille et nourrit son petit dans cet endroit adapté, à l’abri des regards et du bruit", a précisé la direction de Marineland qui a annoncé l’heureux événement ce lundi 9 février. C'est la première fois qu'un animal de cette espèce y voit le jour.
Un concours pour baptiser l'ourson
"Un système de surveillance jour et nuit, effectué par les équipes soigneurs et vétérinaires est en place pour s’assurer du bien-être et de la bonne santé des ours. Ce n’est qu’au printemps qu’ils sortiront, quand la maman sentira son petit suffisamment autonome", a expliqué le parc marin.
Les visiteurs devront donc attendre encore quelques mois pour le rencontrer. En attendant, un concours sera prochainement organisé sur Facebook pour déterminer le prénom de l'ourson.
Une bonne nouvelle pour la préservation de l'espèce
Cette naissance est une Nike Tn Requin Pas Cher bonne nouvelle pour la préservation de l'espèce. Car les ours polaires vivant à l'état sauvage sont de moins en moins nombreux. Ils ne sont aujourd'hui plus que 50.000 et ce nombre pourrait encore diminuer.
"La reproduction des ours polaires est un enjeu essentiel pour le parc, et leur préservation. Ils sont les ambassadeurs d’une espèce très menacée par le réchauffement climatique mondial et la fonte de la banquise qui impacte leur écosystème", précise le Marineland.
C’est d’ailleurs dans le but d'oeuvrer pour la préservation de l’espèce qu’en 2010 les deux ours polaires Flocke et Nike Tn Raspoutine ont été introduits dans le parc marin qui participe au programme européen d'élevage pour la sauvegarde d'une espèce.

DSK, le libertinage comme seule défense

À la barre du tribunal, Nike TN Requin l'ancien patron du FMI a maintenu qu'il ne savait pas que les femmes rencontrées lors des «fêtes» étaient des prostituées. L'une d'elles a contre-attaqué en affirmant qu'il ne pouvait pas l'ignorer.
De notre envoyé spécial à Lille
Quatre hommes en costume sombre, debout face au tribunal. Le plus grand de cette brochette de notables, Fabrice Paszkowski, gérait des sociétés de matériel médical et gagnait environ 15.000 € par mois. Le plus petit, David Roquet, dirigeait les 80 salariés d'une filiale du groupe Eiffage. Le plus austère d'aspect, Jean-Christophe Lagarde, a gardé ses galons de commissaire divisionnaire mais il n'est plus le chef de la sûreté départementale du Nord. Quant à Dominique Strauss-Kahn, on ne le présente pas.
Il ne faut pas faire un gros effort d'imagination pour les imaginer tout nus, s'ébattant dans quelque Nike Tn Requn Pas Cher luxueuse suite d'hôtel en compagnie de femmes bien plus jeunes qu'eux et, du coup, ils en deviennent pathétiques. Prévenus de proxénétisme aggravé, ils encourent dix ans de prison. MM. Paszkowski et Roquet affirment qu'ils étaient les seuls à connaître «le secret» de ces «soirées libertines» : les jeunes femmes étaient des professionnelles rémunérées.
DSK se campe au micro. Il fait donner sa belle voix grave, légèrement voilée, pour se présenter. Le président Bernard Lemaire estime qu'il était «l'un des hommes les plus importants de ce monde» lorsqu'il dirigeait le FMI. Le prévenu ne sait pas si c'est vrai. En revanche, il est convaincu de deux choses: que cette organisation a «sauvé la planète d'une crise aussi grave que celle de 1929» et, d'une manière plus prosaïque mais qui intéresse davantage une chambre correctionnelle, qu'il n'est pas un proxénète. Nike TN Pas Cher Puisqu'il avait refusé de se prêter.

Liliane Bettencourt: l'ex-comptable accuse toujours

Poursuivie pour faux témoignage, Nike Requin Claire Thibout maintient ses déclarations contre Banier et de Maistre.
Dans les rangs des avocats de la défense, on murmure qu'elle est une «coriace». Pendant près de cinq heures mardi, Claire Thibout a été entendue par le tribunal de Bordeaux. Ferme, voire parfois agressive et agacée, elle a répondu au flot de questions et a maintenu chacune de ses accusations à l'encontre de François-Marie Banier et Patrice de Maistre. Témoin clé de l'affaire, elle a été entendue plus de dix-huit fois tout au long de la procédure.
Visiblement à cran en début d'audience, elle lit, d'une voix hésitante, une lettre préparée. Elle se décrit comme un témoin «privilégié et impuissant» d'une situation «choquante et sordide» dans la maison Bettencourt. Aujourd'hui, «je suis à bout et j'ai peur». Elle explique ensuite son rôle dans la complexe organisation financière des Bettencourt. TN Requin De 1995 à 2008, elle est en charge d'une caisse d'argent en espèces pour les dépenses de la maison. Le carnet de cette caisse est tenu «au crayon à papier» et de grosses sommes d'espèces circulent. Chaque semaine, elle retire 50.000 € pour «le coffre» et les dépenses liées à la maison. Liliane valide tout, tous les mois.
Inlassablement, Claire Thibout réitère ses accusations à l'encontre de Patrice de Maistre. Elle raconte que, en janvier 2007, alors qu'il est gestionnaire de la fortune de la milliardaire, il lui réclame 150.000 € pour les remettre à Éric Woerth. Selon la comptable, Liliane lui donnera finalement 50.000 €, que Patrice de Maistre aurait remis au trésorier de la campagne de Nicolas Sarkozy quelques jours plus tard. Les agendas de l'époque confirment ces rendez-vous, mais les principaux intéressés nient farouchement la remise d'argent. Pour Patrice de Maistre, plus tôt le matin à la barre, Nike TN tout cela n'est que pur.

Absentéisme scolaire : ce que dit la loi

Quatre mois de prison avec sursis, Nike Tn Pas Cher c'est la peine à laquelle a été condamnée, le 5 février 2015, une mère de famille à Escaudain dans le Nord. La raison ? L’absentéisme trop important de son fils Simon. L’adolescent n’est quasiment jamais venu en cours lors de son année de 6e, en 2012-2013, et a récidivé l’année suivante.
L’éducation nationale a tenté de prendre contact avec la mère du collégien, sans succès. Elle s’est donc tournée vers la justice qui a décidé de condamner la mère de l’enfant… Si une telle condamnation est exceptionnelle, que risquent les parents en cas d’absences répétées et non justifiées de leurs enfants ?
Un droit et un devoir à l'éducation
Chaque élève, a droit à l'éducation. Ce droit s'accompagne d'un devoir : l'assiduité, c'est-à-dire l'obligation de présence aux cours. C'est par ailleurs une des conditions premières de la réussite scolaire. Tous motifs confondus les élèves ne ratent qu'à peine plus de 5% des heures de cours par an selon les chiffres de l'Education nationale.
Que se passe-t-il en cas d'absence d'un élève ?
Chaque établissement scolaire public ou privé tient un registre d'appel et l'enseignant qui constate l'absence d'un élève le signale. Les responsables de l'enfant sont alertés et invités à donner les motifs de l'absence. Les absences prévisibles doivent faire l'objet Tn Nike d'une information préalable auprès du chef d'établissement.
Existe-t-il des motifs d'absences légitimes ?
Il existe quatre cas d'absences "autorisées", mais qui, dans tous les cas, doivent être signalées. Le motif le plus courant, c'est la maladie de l'enfant ou de l'un de ses proches s'il est contagieux.
L'enfant est aussi autorisé à être absent en raison d'une réunion solennelle de famille, comme un décès par exemple.
L'absence peut aussi être causée par un évènement extérieur comme une difficulté dans les transports.
Enfin, l'enfant peut être absent s'il suit ses parents, eux-mêmes absents.
Une sanction est-elle prévue en cas d'absence d'un élève sans motif ?
Aucune sanction n'est prévue pour une absence unique sans motif, car à ce moment-là, l'accent est mis sur la communication entre l'établissement, l'élève et les familles.
En maternelle et en primaire, les parents sont invités à dialoguer avec l'équipe éducative. Dans le secondaire, l'élève peut être convoqué par le conseiller d'éducation et un rappel de son obligation d'assiduité lui est formulé, assorti ou non de punitions ou d'heures de retenue.
Que se passe-t-il si le dialogue n'a pas permis de rétablir l'assiduité de l'élève ?
La situation diffère en fonction du niveau scolaire de l'enfant.
En primaire, le directeur peut alerter le service social de l'établissement à partir de trois demi-journées d'absences non justifiées dans le mois. Une visite au domicile des parents peut alors être organisée. A 4 demi-journées d'absences non justifiées, le directeur académique est alerté.
Au collège ou au lycée, les responsables de l'élève sont convoqués à partir de trois demi-journées d'absences non justifiées dans le mois. A partir de quatre demi-journées, le chef d'établissement réunit une commission éducative et le directeur académique est informé.
Les parents ou les responsables légaux de l'enfant peuvent recevoir un avertissement. Il leur est rappelé leurs obligations légales et les sanctions pénales auxquelles ils s'exposent. En effet, le fait de ne pas imposer à l'enfant sa présence à l'école est passible d'une amende de 4e classe.
L'absentéisme peut-il aboutir à une procédure judiciaire ?
La sanction pénale est vraiment l'ultime recours dans une situation d'absentéisme persistant et n'intervient qu'après l'échec de toutes les étapes de médiation. Mais dans ce cas, le directeur académique peut saisir le procureur de la République qui décide de donner des suites ou non à l'affaire.
Pour les cas les plus extrêmes, Nike Tn les parents peuvent être poursuivis au titre de l'article 227-17 du code pénal car ils compromettent "la santé, la sécurité, la moralité ou l'éducation" de l'enfant. Ils risquent alors jusqu'à 2 ans de prison et 30 000 euros d'amende.