L'Europe est coincée entre raisonnables et radicaux. Depuis le mois de juillet et l'épisode du Grexit, les raisonnables pensaient avoir définitivement prouvé qu'ils avaient raison en soutenant que Syriza ne réussirait jamais son pari. Reste que la victoire de Tsipras marque une nouvelle étape et relance le débat. Atlantico : En juillet dernier les "raisonnables" - ceux qui pensent que les règles européennes passent avant tout et qui sont pour un remboursement strict des dettes - se réjouissaient de pouvoir donner la preuve que Syriza ne réussirait pas,tn requin jordan et que voter pour ce parti ne servait à rien puisqu'il avait échoué et ne pouvait tenir ses objectifs. Pour autant, Dimanche dernier,Tn Requin Alexis Tsipras a réussi son pari en rassemblant 35,4% des voix aux législatives grecques. En quoi cela est une mauvaise nouvelle pour les "raisonnables" ? Comment la recoivent-ils ? nike roshe run en ligne Cyrille Bret : Le 13 juillet dernier, quand le plan d'ajustement structurel supplémentaire a été adopté en Conseil européen, les forces politiques ? modérées ? ou ? raisonnables ? ont pensé fermer ce qu'elles considèrent comme la ? parenthèse Syriza ?, intervenue en janvier 2015 avec l'arrivée au pouvoir de ce parti de gauche contestataire. En Grèce,nike tn magasin avis les partis classiques Pasok (socialistes),nike roshe run zwart Nea Demokratia (conservateurs) et To Potami (centriste) ont pensé assister au déclin tant souhaité par eux de ce parti anti-système, tout récent et atypique. En Europe, les partis conservateurs, au pouvoir dans plusieurs Etats importants, et les partis sociaux-démocrates estimaient de concert que le programme de réformes structurelles entrainerait,Nike Tn Pas Cher à terme, soit le reniement par Syriza de ses engagements initiaux soit son remplacement par les partis historiques plus sensibles aux impératifs européens.
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